Crobards
Mars et exercices
by Sbeu on mar.02, 2014, under Crobards
Une petite série d’exercices avec différentes techniques en partant de la même ref. A force, je commence à pas mal la connaître, cette rue…
Elle est assez facile parce qu’il n’y a qu’un point de fuite mais c’est déjà ça pour s’entraîner. Ah et comme je suis un pur, c’est direct à l’indélébile sans croquis préparatoire (d’où quelques foirades sur la deuxième, d’ailleurs).
Et du coup, comme j’aimais bien cette technique de contours de zones de masses principales, j’ai essayé sur des visages aussi. Le tout en 5 min par visages (beaucoup plus pour la rue).
Dans les deux cas, j’aime assez le résultat.
Et là, vous vous dites, le post de Mars dès le 2. Va falloir attendre avril du coup avant de revenir. Que nenni, une partie de Remember Tomorrow ayant eu lieu hier, il y a un CR sur le feu qui devrait arriver dans les prochaines semaines.
Nostalgia
by Sbeu on déc.16, 2013, under Crobards
Ces derniers temps, j’avais la désagréable impression de ne pas progresser des masses. Tu regardes des tutos, t’essaies de faire pareil sans succès. Tu vois des gens qui ont un niveau que tu penses pouvoir rattraper, tu retournes voir ce qu’ils font un an plus tard, bim, la claque stratosphérique, über level-up. Pendant ce temps, je me casse toujours les dents sur les mêmes problèmes.
Le dessin, sans surprise, c’est comme toute activité : beaucoup d’investissement pour peu de résultats et quand ça vient, c’est leeent. Par voie de conséquence, c’est parfois assez peu gratifiant, surtout quand on est fatigué.
Heureusement, en ce moment, je fais du rangement dans mes vieux papiers et au détour d’un vieux poly poussiéreux, je suis retombé sur ce qui est probablement un de mes plus vieux dessins depuis que je m’y suis remis. Ce torch- cette relique a presque dix ans. Une représentation d’un vieux perso de Donj’ III (probablement la dernière fois que j’ai fait du Donj’ d’ailleurs), elfette archère à forte poitrine qui s’appelait Tatil-Fona (diantre, le niveau de mes jeux de mots reste fidèle à lui-même au moins).
Donc j’ai choppé ma tablette et je me suis demandé ce que je griffonnerais à l’arrache, en reprenant le même thème maintenant.
Il reste des milliers de trucs à revoir, mais je trouve quand même qu’il y a du mieux et mine de rien, ça fait plaisir…
Si j’osais, j’irais jusqu’à dire “mais lol, quoi”, quitte à rester dans le honteux. Je me demande si j’avais déjà croisé des êtres humains à l’époque…
Mention spéciale pour le positionnement des pieds : ” J’en ai rien à foutre, je veux mettre des pieds sous deux angles différents, je suis un malade, le truc c’est que j’ai confiance que dans le dessin de face et de profil, donc tant pis pour ses genoux”.
Et bien évidemment, le cache misère toujours efficace : ” si je dessine une poitrine énorme, ça fera peut-être oublier le fait que les proportions sont plus qu’approximatives”.
Rétrospectivement, ce sont de mauvaises idées.
Et donc la V2 réalisée en sensiblement le même temps que le souvenir que je garde de la création de l’original.
Moralité, gardez bien précieusement vos dossiers résurgences d’un lourd passé, de temps en temps, ça rebooste l’ego…
Néanmoins, rangez les bien de sorte à ce que ce soit vous qui les retrouviez en premier.
Ah, et et sinon, j’ai fermé les commentaires vieux de plus d’1 mois. Problèmes de Spambots…
Exos de visages
by Sbeu on nov.21, 2013, under Crobards
Quelques exos de visages le premier sans modèle, les suivants inspirés de peintures connues.
De nouveau du tradi
by Sbeu on nov.17, 2013, under Crobards
J’ai eu un peu l’occasion de ressortir les pinceaux et les encres/acryliques dans un contexte un peu plus scolaire.
Déjà, à côté, j’ai un peu avancé celui là :
Sinon, sur le thème du corps :
Et sur le même thème avec une petite devinette. Le suivant est inspiré d’une peinture célèbre. Je me suis cela dit permis de substituer quelqu’un d’autre au modèle original. Un bon point à qui retrouve l’original.
@ LCF : T’as vu, c’est des photos au flash avec une lumière naturelle toute merdique…
F5-F8
by Sbeu on oct.13, 2013, under Crobards
Un petit peu de Limbos, pour la route.
Cliquage to enlarge, comme d’hab… Parce qu’en paysage, c’est pas super lisible, désolé.
Monsterhearts Saison 1 ep 0?+1 (2/2)
by Sbeu on oct.05, 2013, under Crobards
Et donc la suite de l’épisode précédent.
Eva est en train de passer une soirée de merde, le mode Forever Alone branché plein pot. Il faut dire qu’il n’est pas évident qu’elle ait la moindre notion de comment faire autrement. Avec Tamara, je pensais toucher le fond dans un JdR orienté relations sociales, il s’avère en fait que l’on partage la palme. Se rendant néanmoins compte que l’argumentaire de son visiteur de la soirée est bâti sur quelques points solides comme le fait qu’elle n’a pas d’alternative, Eva commence par investiguer sur sa nouvelle cible sur les Internets. Les canaux standards sont parfaitement ennuyeux mais confirment que le sociologue, à défaut s’être celui qu’il prétend, s’est construit une solide couverture composée de nombreux articles et d’une thèse à Harvard. Approfondissant ses recherches, elle en vient finalement à contempler l’abîme.
On s’est un peu demandé en off comment contempler l’abîme sur le web. La conclusion était que le plus direct était sûrement de fixer non stop Nyan Cat sans cligner des paupières. Je n’ai pu qu’approuver d’autant plus que ça m’a très fortement rappelé cette vidéo qui illustre parfaitement cette méthodologie.
Eva donc, finit par aboutir sur des videos youtube qui lorsque déclenchées, lui font percevoir à la première personne les perceptions d’un captif du fameux Lundi, en train de s’adonner avec un plaisir évident à la vivisection de son sujet. La puissance du feedback couplé à la longueur des visions laisse Eva qui pourtant a le cœur bien accroché légèrement choquée. C’est donc avec un soulagement relatif qu’elle accueille la vision suivante, bien plus calme. Dans cette dernière, on distingue le sociologue grimper allègrement les marches d’un pavillon de banlieue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin dans les mains. Tandis que la vision se brouille, Eva reconnaît néanmoins la principale du lycée qui l’accueille sur son perron.
Lorsqu’elle cherchera par la suite à revisionner les vidéos, il s’avérera qu’elles ont été retirées pour des raisons de copyright depuis fort longtemps.
En parallèle, Veronica profite de l’avancement de la soirée pour parachever sa cuite tandis que Tamara commence à cuver l’alcool qu’elle n’a pas bu chez Ariel. La conversation dérive d’un sujet à l’autre, Ariel interrogeant tantôt Tamara sur la manière dont elle perçoit Veronica, tentant tantôt à grand renfort d’allusions peu subtiles que la ruche serait plus en sécurité si elle était moins exubérante. Tamara a parfaitement conscience de tout cela, les paroles d’Ariel résonnent comme un écho de certaines de ses intuitions, la traqueuse formulant simplement ce qui relevait du domaine du ressenti. La conversation redevient néanmoins rapidement plus studieuse lorsque les signes avant coureurs d’une sonde mentale active de Veronica se font ressentir.
Capturer Eva : plus facile à dire qu’à faire surtout si ce que Veronica affirme est vrai et que c’est bien elle qui est responsable de la mort d’Annalee. Eva est dangereuse mais l’avoir sous son contrôle semble un point important, et ce, quels que soient les objectifs poursuivis. C’est peut être bien la seule manière de se libérer de Veronica dont la domination reste flagrante. Il va donc falloir tendre un piège à la damnée. Établir un réseau de surveillance efficace, prévoir des solutions de repli. Revenue dans ce qu’elle sait faire de mieux Ariel est dans son élément. L’exaltation de l’une et la torpeur alcoolisée de l’autre retardent d’autant l’instant fatidique où l’on se rend compte qu’Ariel a saisi la main de Tamara en lui expliquant les enjeux tactiques du quartier où réside Eva. Esquissant un mouvement de recul bien moins marqué que ce qu’elle aurait anticipé, Tamara se saisit d’un objet à portée de son autre main qui s’avère être l’une des innombrables armes qui traînent dans la chambre de l’élue. S’étant légèrement entaillée, elle tente de masquer son trouble en attirant l’attention sur sa coupure qu’Ariel s’empresse de désinfecter et fort logiquement, oh mais qu’est-ce qui nous arrive ? jetons donc un voile pudique sur la scène à venir.
Ah non tiens, au temps pour moi, on est dans une série HBO, il y a des quotas de fan service à remplir…
S’ensuit donc une scène où s’entremêlent la première fois maladroite de Tamara et le coup d’un soir expert de Veronica sur un parfait inconnu séduit au bar qu’elle abandonnera le lendemain sans le prévenir que l’appartenance à la ruche est une IST. Le contact télépathique entre la reine et la princesse contribue à la qualité mitigée des deux soirées. Il devient vraiment plus que grand temps que l’essaim s’émancipe de la ruche.
En cours le lendemain, après une fort courte période de récuération pour nos protagonistes, survient une nouvelle convocation de la principale. Cette dernière, d’ordinaire assez sèche et acariâtre, semble toute guillerette, ce qui ne surprend que marginalement Eva. Formidable nouvelle, Monsieur Lundi a réussi à débloquer des budgets fédéraux dans le cadre de son étude (déjà, ça, c’est un truc qui relève clairement d’une intervention surnaturelle et occulte ou je m’y connais pas). Cela permet donc l’organisation au pied levé d’une sortie d’étude obligatoire dans les rocheuses. Les quelques photos projetées du camp d’inter… de vacances où les élèves sont amenés à résider donne fortement envie d’inviter Jack Nicholson à se joindre à la sortie mais cela ne semble pas spécialement affoler les élèves, ravis à l’idée de trouver une occasion de glander. Evidemment, Veronica est légèrement dubitative et Eva commence carrément à avoir des sueurs froides. Il va falloir s’équiper avant de partir.
La journée se déroule sans histoire et lorsque vient l’heure de la sortie, Eva scotche devant l’un des bus (déjà loués à la semaine) qui accueillera sa classe dès le surlendemain. Le conducteur, occupé à l’entretien de son véhicule lui adresse en petit clin d’oeil accompagné d’un sourire carnassier. Il s’agit d’un visage bien trop familier pour passer à côté : celui de la forme humaine de son ancien employeur. Ayant pressé le pas, elle tombe nez à nez dans un parc avec son successeur. Après une brève hésitation elle se résigne et, comme rien n’est jamais simple avec Eva, elle discutera encore sur la défensive avec lui pendant dix bonnes minutes tout en sachant qu’elle n’a aucun plan de sortie et finit par accepter la mission qui lui est assignée. Son CDI signé, son employeur enchaîne les allusions suffisamment lourdes pour figurer dans la dernière ligne du tableau périodique relatives au sort des démissionnaires. Bref, elle y va mais aura besoin d’équipement : une arme à feu facilement dissimulable en l’occurence.
Le démon prouve qu’il a le sens de l’humour en lui remettant une mallette contenant un .44 Magnum…
Les grands esprits se rencontrant, Veronica convainc elle aussi Kurt de lui procurer une arme. Il faut s’y reprendre à plusieurs fois tant le niveau de ce dernier rase le bitume. Il se rendra compte (avec un coup de pouce à chaque fois) notamment qu’il n’a pas l’âge d’acheter un pistolet une fois dans l’armurerie, qu’une arme à gros sel semble ne pas faire l’affaire, qu’un arc ne remplit pas le critère de dissimulabilité et que Veronica semble mystérieusement insensible à ses insinuations concernant les contreparties possibles qu’il pourrait retirer de la transaction.
Il reviendra néanmoins le lendemain en cours avec un 9mm subtilisé dans l’armurerie paternelle, réussira à attirer l’attention d’un surveillant en se vantant de sa trouvaille bruyamment auprès de sa reine et finira au bureau de la proviseure après avoir décoché un direct au dit surveillant. Fort heureusement, ce dernier a entre temps complètement oublié le sac suspect étant donné que les raisons de la rixe étaient justement une réaction stupide de Kurt pendant la tentative chantage de Veronica sur la personne du surveillant après un incident malheureux impliquant une main, un décolleté, une photo et un gros WIN au dés. Affaire réglée, deux protagonistes surarmées, j’ai hâte…
Tamara s’est elle aussi préparée au départ. N’ayant pas de raisons spécifiques de craindre le fameux Lundi, elle prend surtout ses précautions face à Eva et Veronica. Pas besoin d’armes, il faut dire qu’il est évident qu’Ariel emportera sur elle suffisamment d’armes blanches pour pouvoir confectionner une armure de plates complète si d’aventure elle venait à croiser une forge. Ses préparatifs sont de nature plus mystique. C’est quelque chose lu dans un vieux bouquin qui mérite d’être tenté. Mais pour ça, elle a besoin de l’aide de quelqu’un sachant reproduire un motif en grand sur des surfaces inhabituelles.
Demandant conseil à Ariel, elle découvre l’existence d’un club de peinture qui est en fait le point des ralliement des wannabe punks et grapheurs du lycée. A vrai dire, elle découvre par la même occasion l’existence du foyer des élèves (“faut vraiment que tu sortes plus, toi…”).
Tamara fait donc irruption au foyer à la suite d’Ariel. Vu de l’extérieur, c’est clairement la Walkyrie qui dirige les opérations mais Tamara sait pertinemment qu’il n’en est rien et elle trouve la situation assez confortable. Devant le billard, un petit groupe de rebelles à papa correspondent au profil. L’un d’entre eux, cherchant probablement à asseoir son statut de mâle alpha, tente une remarque désobligeante à l’égard du nouvel animal de compagnie de la chasseresse. Il est royalement ignoré par ça cible et s’enhardit, se risquant à une nouvelle boutade. Passant à côté du billard, Tamara se contente de rentrer la boule noire pour avoir son attention. Poussé à bout, il devient finalement menaçant physiquement. Reculant et feignant de balbutier, Tamara en profite pour incanter une malédiction (celle qui donne des belles hallus qui avait déjà servi sur Kurt) qui fonctionne à merveille, donnant à l’intéressé l’impression d’être submergé par des boules de billard noires. Esquissant un mouvement de recul, il trébuche sur une boule physique, cette fois-ci et s’effondre en temblant. Ses acolytes quittent les lieux tandis que Tamara fait relever par Ariel celui qu’elle a tout juste brisé et se propose de l’utiliser pour mettre son plan à exécution (en voix off, Veronica : “Bah voilà, ça c’est des membres de mon gang!”) :
Soutenu par des glyphes adéquatement placés, un sortilège peut voir sa puissance augmentée, voire même se voir conférer des effets de groupe sur les occupants d’un espace confiné. Le toit du bus semble un site tout à fait éligible pour ce genre de choses d’autant plus qu’Eva aussi bien que Veronica y prendront place le lendemain. [on tirera les dés la prochaine fois pour voir si les préparatifs permettent effectivement que tout se passe comme prévu].
Vivement le voyage…
Suite au prochain épisode.
Edit commentaires généraux sur la partie : La partie a été plus courte et moins riche en rebondissements que la précédente mais prépare bien le terrain pour la suite. On serait à la télé, on se rapprocherait de l’épisode de fin de saison et son cliffhanger final.
Le setup se prête désormais à pousser au dénouement du sac de nœuds du trio de joueurs de cette session. Du coup, je me demande dans quelle mesure il sera possible de réintroduire les joueurs absents même si c’est tout à fait intéressant et que le système de jeu est conçu pour le permettre assez facilement.
De même, si un nouveau joueur tout frais débarquait, je me demande s’il serait préférable de rajouter un nouveau personnage ou de PJiser Ariel. Encore une fois, les deux sont possibles et j’ai bien intégré Tamara dans un imbroglio déjà plutôt délicat.
Pour conclure, j’ai envie de dire que cette partie confirme l’intuition que j’avais lors de ma première session. L’Apocalypse system et sa déclinaison dans Monsterhearts semble plus capitaliser sur les fails des joueurs que sur leurs réussites pour faire progresser l’intrigue, ce qui le met dans une position assez différente de pas mal de jeux classiques où une réussite fait avancer, un fail fige juste la situation jusqu’à ce qu’une réussite survienne finalement pour débloquer.
Je rajouterai peut être un graphe de relations des personnages à l’occase. Notre meuj’ a bien un tableau récapitulatif mais c’est du matériel personnel et confidentiel.
Sport extrême
by Sbeu on sept.04, 2013, under Crobards
La deuxième c’est la bonne. Cet aphorisme absolument pas canonique n’a pas grand rapport avec cette gribouille car objectivement, en dessous du thorax, la persp est toute ratée et ça mériterait bien une troisième. En tous cas, croyez-moi, la première était bonne à jeter, à tel point que c’est d’ailleurs exactement ce qui lui est arrivé.
Bref, tout ça pour illustrer un nouveau sport extrême dont nous avons eu l’idée avec epsyloN, touvant que le base jump et autres Ski-parapente, c’est un peu trop mainstream. Et puis, il fallait bien que je le dessine, ça fera peut-être passer l’amère victoire de la Rome impériale sur l’ours communiste.
Les règles sont simples. Deux personnes sautent en même temps d’un avion avec une Wingsuit et munis de Claymores. Toucher le sol en vie rapporte des points, ouvrir son parachute à faible altitude rapporte des points, utiliser sa Claymore à bon escient rapporte des points. C’est à peu près tout.
Si vis pacem…
by Sbeu on sept.03, 2013, under Crobards
Aujourd’hui, c’est la sortie de Rome II Total War. Je ne sais pas si/quand j’aurai le loisir de l’acquérir/y jouer. Mais en attendant, c’est tradi, c’est gribouille d’un général mal barré.
Sinon, je m’approche du 200ème post et incidemment du 1000ème commentaire (mais moins vite). Si des fois on l’atteint avant le post, l’auteur du commentaire choisira le sujet du post.
Bon, floodez pas (trop), quand même, c’est un blog respectable, on est pas sur le #B#unker.
Girls & Katanas
by Sbeu on sept.02, 2013, under Crobards
Allez, vite fait, comme j’avais envie de jouer un peu avec mon Pentel, une petite nipponnerie.
Rednecks
by Sbeu on sept.02, 2013, under Crobards
Je sais pas trop pourquoi, dans la séries, oldies, j’ai repensé à Redneck rampage. Un FPS tout moisi où l’on luttait contre une invasion alien dans le fin fond de l’Arkansas sorti la même année que l’excellent Outlaws de Lucasarts.
Et du coup, ça m’a envie de dessiner des Hillbillies et des Zombies pendant un trajet de train.
L’anant de la nana est foireuse mais j’aimais bien le gus et le Pick-up.
Sinon, dans le genre débile avec des Redneck et Alan Tudyk dedans, il faut absolument boire plein de bières et voir : Tucker & Dale vs Evil.