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Archive for juillet, 2014

Monsterhearts Saison 1 ep 0?+2 (1/2)

by Sbeu on juil.22, 2014, under Crobards

Après avoir cotoyé ce que le Japon nous réservait de meilleur en termes de freaks, voici le moment de retrouver notre groupe surnaturel d’outre atlantique.

Previously in Monsterhearts
Toujours dans la séquence prégénérique comme il se doit, quelques flashs insistant sur les personnages déjà introduits précédemment dans la série, qu’on n’a pas vu depuis un bail et qui vont rejouer un rôle important. Ici, il s’agira de Walthus (vous savez, le Fae de Nocker).
On voit donc de courtes séquences et des bribes de dialogue permettant de recentrer le personnage, adolescent élancé, félin aguicheur et qui globalement fait moins de son âge tout en laissant une impression de maturité troublante, surtout à ceux et celles (nombreux) qui envisageraient d’approfondir leurs relations avec l’éphèbe au delà de ce que la décence m’autorise à relater en ces lieux, ah non, on me fait signe que j’ai le droit en fait. Maturité qui relève plutôt de l’illusion car Walthus en est en réalité à peu près autant dépourvu que de retenue ou de pudeur. Il faut dire que son enfance au royaume des fées et sa tendance prononcée à céder aux distractions qui s’offrent à lui ont moins affûté sa rectitude morale que son pendant physique.
Outre sa nature hédoniste, Walthus a un singulier passe temps : il aide les gens… Je sais, c’est assez inattendu étant donnée la bande de cas sociaux qu’on suit depuis le début de cette histoire. Rassurons nous tout de même, sa connaissance des us et coutumes des gens du commun lui fait commettre une quantité considérable d’impairs dans sa tâche, s’attirant plus d’acrimonie que de reconnaissance. Ah et comme c’est un fae, si tu romps une promesse que tu lui as faite, il risque de t’arriver des tas de choses aussi déplaisantes que surnaturelles…

Ah et aussi, pour tous ceux qui attendaient fébrilement la suite des démêlés entre Eva et Véronica, pas de bol, Eva avait une obligation la maintenant éloignée du théâtre des opérations, demon stuff, ya know…

Participaient donc à cette session :
Veronica (Bobette), Walthus (Nocker), Ariel dans son premier rôle de PJ (Athreeren) et Tamara (votre humble serviteur).

[Eeeet, Générique de début !]

Les quelques jours qui séparaient encore du jour du départ en voyage scolaire se sont volatilisés et nous voici donc au dernier cours où le professeur de bio (bras toujours en écharpe car il s’était fait molester par Viktor au début de la saison avant l’arrivée de Tamara) lit maladroitement la liste des denières recommandations en vue du trajet du lendemain auxquelles strictement personne ne prête attention. Veronica est sûrement en train de glander sur son portable, Walthus regarde par la fenêtre, des admirateurs regardent Walthus, Tamara dort sur sa table. Quand à Ariel, elle fait sa forte tête et contredit l’enseignant. Persistant dans sa conduite en dépit des remontrances, elle est convoquée en fin de cours pour s’expliquer. La tension monte tandis qu’Ariel, toute en subtilité, cherche l’affrontement et laisse présager le risque de représailles physiques ce que le professeur, fort de ses récentes expériences tente prudemment d’esquiver. Ariel s’en tirera avec une convocation de ses parents après le voyage scolaire.
L’attendant à la sortie de la classe, Walthus, de retour de son voyage, n’a pas pu s’empêcher de remarquer la nouvelle et son tempérament… explosif (ou peut-être sa musculature fonctionnelle qui laisse présager la chasseresse qui peine à se dissimuler). Il n’a par contre pas le moindre indice de l’existence même de Tamara qui souhaitait elle aussi attendre son amie et qui a préféré prendre un peu de recul, constatant qu’elle n’était pas seule à avoir eu cette idée.
Le Fae aborde donc l’élue d’un ton enjôleur et légèrement moqueur, tout en restant bienveillant. D’abord sur la défensive, Ariel se rallie néanmoins rapidement (trop au gout de Tamara) à la position de Walthus qui lui vante les mérites d’une approche plus diplomate et mesurée face au corps enseignant. Il lui propose de lui enseigner les arcanes de la diplomatie et du charme (tentant en vain d’extorquer une promesse à Ariel, le fourbe), ce que l’intéressée finit par accepter. Ecoeurée par la volatilité de l’attention (une attention non exclusive est une odieuse trahison) de celle qu’elle prenait pour l’amour de sa vie, Tamara déboule et tente de rembarrer Ariel afin de rafermir son autorité sur sa suivante. Connaissant Tamara, on se doute de l’échec retentissant de l’opération et Ariel fait étalage de la toute puissance de son libre arbitre en se rapprochant de Walthus et en faisant remarquer à Tamara qu’elle est quand même vachement creepy. Walthus s’éclipse et la discussion se poursuit jusqu’à l’extérieur où Ariel est abordée par 3 jeunes étudiants relous qui tentent de la draguer. Tamara, de son côté, ça va, rien à signaler… Désormais remontée contre la sorcière, Ariel lui reproche sa possessivité et accepte l’offre d’un des zonards. La sorcière, quitte donc les lieux, humiliée et en larmes.

Ariel se retrouve donc débarassée de l’intrigant Walthus et de sa possessive amie. S’apprêtant à quitter les lieux, elle est interceptée par l’un des glandeurs qui n’apprécie que moyennement d’avoir servi de faire valoir sans contrepartie. Le ton monte et Ariel n’a vraiment pas de temps à perdre. Elle leur explique donc en guise de dernier avertissement ce qui risque de leur arriver dans la minute s’ils persistent sur cette voie… et met à execution ses menaces avec célérité. Un observateur exterieur pourrait prendre en pitié les agresseurs : à trois contre une, le combat était vraiment trop déséquilibré en leur défaveur. Par ailleurs, Ariel gagnerait à suivre un cours de droit relatif à la notion de « réponse proportionnée ». [En fait, elle libère son côté obscur dans la bagarre, ce qui ne l'incite guère à la clémence. Cela la forcera à chercher à abattre la plus grande menace qu'elle appréhende dans la zone quitte à prendre des risques démesurés. Elle en sortira à la condition de finir hors de combat physiquement, Athreeren avait certainement envie de tester les overdrives de tous les jeux indies qu'il teste]
Refocalisée sur son objectif grâce à ce torrent d’adrénaline, Ariel échappe au contrôle de la ruche et décide de mettre tous les moyens à sa disposition au service de son objectif : éradiquer Veronica et tant pis pour les conséquences (pour rappel,Ariel est sous la responsabilité de Tamara du point de vue de Veronica et les deux partageront les représailles si l’une fait de l’esclandre).

Veronica, justement semble être la seule a avoir pris conscience du danger que représente Lundey (le « sociologue » du ministère qui les emmène en sortie scolaire…). Aussi, après avoir garanti qu’elle serait armée pour la sortie, la reine s’ingénie à collecter des informations sur ce douteux personnage. Je ne suis pas spécialiste mais je ne suis pas sûr que la meilleure manière d’obtenir des résultats de qualité sur les missions de confiance consiste à systématiquement envoyer en première ligne l’élément le plus incapable de l’équipe mais je me trompe peut-être. Toujours est-il que c’est à ce bon Kurt que revient la tâche de surveiller discrètement Lundey (mais bon, au moins il a une voiture et du pognon…). Il repère néanmoins bien le mystérieux personnage en discussion avec le principal dans un restaurant discret du centre ville. Sorti de ça, il sera difficile d’en tirer plus de sa part tant sa conception de la notion de fait intéressant est cryptique. Véronica finira donc par se décider à intervenir en personne, tous des incapables, blabla… et elle mobilisera au passage quelques recrues dont Tamara dont les talents pourraient fort être utiles dans cette situation. Elle envoit donc à cette dernière une convocation par SMS à la retrouver devant le restaurant en question (une pizzeria si je me souviens bien, ce qui semblerait témoigner du fait que le lycée n’est pas trop en fonds en ce moment).

Avant qu’arrive le fameux SMS, Tamara avait eu le temps de rentrer chez elle, de déprimer, de pleurer un coup, de se dire que le monde était trop injuste et de mettre à execution une vengeance mesquine parce que c’est probablement l’utilité première des pouvoirs surnaturels, les vengeances mesquines… Elle utilise donc le fétiche qu’elle avait subtilisé à Ariel avec son consentement lors de leur épisode intime pour ourdir un sombre rituel qui lui fera prendre conscience de la souffrance qu’elle a infligé à la sorcière. En pratique, il s’agit du sortilège d’illusion de Tamara qui altèrera les perceptions de la victime pour lui faire perdre le gout des choses, tout voir à travers un filtre terne et avoir l’impression que tout dégouline en une espèce de bouillie glauque, visqueuse et noiratre.
Donc oui, voila, c’est un rituel qui rend temporairement emo… [Et c'est sur un gros win de ma part que l'on peut affirmer haut et fort : c'est vraiment très efficace !].
A peine remise des incantations, Tamara reçoit donc l’appel de sa reine. Elle considère sérieusement la possibilité de lui poser un lapin et de rester déprimer à la maison en écoutant de la musique badante roulée en boule sur son lit mais finalement, foutue pour foutue, elle se dit qu’il vaudrait mieux employer sa soirée à ne pas laisser empirer encore les choses (et ça lui donnera l’occasion de se changer les idées/faire une crasse à Ariel).

De son côté et simultanément au rituel de Tamara donc avant que ni elle ni Veronica ne parviennent sur le site où Lundey et le proviseur dinent, Walthus, peut-être intrigué par l’attitude tendue de Veronica durant les cours ou alerté par sa sensibilité féérique [même si je pense que c'est surtout l'instinct qui fait mécaniquement converger tous les PJs vers le même lieu], Walthus donc, passe un coup de fil à Kurt à qui le rusé Fae n’avait eu auxcun mal par le passé à soutirer des quintaux de promesses dont celle de le tenir au courant des manigances internes de son gang. Inconscient du fait que Veronica ne va très certainement pas apprécier l’indiscrétion, Kurt se vante du rôle clé qu’il joue dans la surveillance de Lundey et Walthus, trouvant que c’est probablement le meilleur plan à sa disposition dans la soirée pour se divertir, décide de faire le détour pour se rendre compte de lui même de quoi il retourne.
La conversation commence sur un ton amical neutre jusqu’à ce que Kurt, touché par une fulgurance inattendue commence à soupçonner Walthus de chercher à lui soutirer des informations dont la divulgation pourrait nuire à son intégrité physique. Frustré qu’on lui résiste alors qu’une promesse relative au sujet de la discussion lie les deux adolescents, Walthus tente d’allumer le quaterback [et Nocker nous prouve avec brio que des stats de feu sont parfois insuffisantes, un gros fail s'ensuit]. Kurt, se sentant attaqué sur sa virilité par l’approche peu subtile du faune se braque et érige instantanément ses défenses à grand renfort de remarques homophobes. Persuadé de devoir raffermir son statut face à ses comparses, il contraint Walthus sous la menace à vider les lieux. Puis, énervé par la situation et sa crainte d’être mal perçu par ses accolytes, il abandonne lui aussi son poste au volant de son puissant bolide afin de faire étalage de la puissance de ses chevaux mécaniques. Il serait revenu sous peu se rappelant un peu tardivement des directive de la reine mais bien mal lui prend de s’aventuer sur la route car sa promesse est désormais belle est bien rompue et des circonstances mystérieuses l’amèneront à pulvériser son véhicule quelques blocs plus loin. Pas de blessure dépassant la contusion mais c’est papa qui va gueuler…

Et c’est donc à peu près sur ces entrefaites que Tamara et Veronica parviennent sur les lieux avec une synchronicité avec l’enchaînement des scènes assez déconcertante. Veronica vient de recevoir un appel de Kurt où il lui fait part de ses récentes déconvenues aussi, est-elle décidée à régler l’affaire de manière assez expéditive. Comme son deuxième prénom est probablement « Subtilité », elle entraîne à sa suite la sorcière dans la pizzeria, s’installe à une table où l’on peut voir leurs cibles et commande des trucs à boire (et probablement des tortillas ou un truc pour faire passer). Lundey les a bien évidemment remarquées, a adressé au vol un petit sourire à Veronica qui a échappé au proviseur et a noté un mot sur son carnet. Tandis que Veronica discute tranquillement avec l’assurance que donne l’habitude, la sorcière a du mal à masquer l’agitation dans laquelle la plonge la situation. A noter qu’en langage Tamara, « avoir du mal à », ça veut dire « n’avoir strictement aucun contrôle sur ». Allant directement à l’essentiel, la reine demande (en langage Veronica, c’est synonyme d’ »ordonne ») à Tamara de refaire le truc qu’elle a fait sur Ariel (le rituel de possession qui permet de ressentir les perceptions de la cible) sur Lundey mais en version discrète. En effet, l’approche directe implique un contact visuel prolongé et grand renfort d’incantations. Tamara révèle à regrets qu’un rituel peut être effectué à distance si l’invocateur dispose d’un objet ayant une valeur symbolique pour sa cible. Comme elle le craignait, Veronica tique sur cette révélation, étant donné que son premier contact avec Tamara avait été déclenché par le fait que cette dernière avait été repérée par le gang en train de fouiller le casier de la reine. Ooops…
Se reprenant bien vite, Veronica propose de créer une diversion leur permettant de fouiller dans la voiture de Lundey à la recherche d’un fétiche. Elle charme donc Léo, le serveur charmant qui a un prénom et qui reviendra donc par la suite et échange un rendez-vous contre le fait qu’il convainque son patron d’offrir le dessert spécial de la maison avec café digestif et tout à Lundey et au proviseur, leur permettant de gagner du temps pour leur fouille.

Faisons donc une petite pose dans cette sordide histoire de vol dans le véhicule de fonction d’un agent fédéral pour nous intéresser à Ariel et aux conséquences catastrophiques de son soudain regain de volonté. Ah, ben en fait non, il s’avère qu’elle s’adonne à une activité tout à fait rationnelle : collecter des informations sur son ennemi. C’est fou ! [Forte d'une compétence d'élue qui permet de chercher dans des livres la réponse à tout problème d'ordre surnaturel] Ariel déboule donc dans l’échoppe de son fournisseur d’armes, de matos et donc de bouquins ésotériques. Si mes souvenirs sont bons, elle est camouflée en magasin de comics mais Athreeren confirmera. Après un brin de conversation polie avec le proprio qui s’apprêtait à fermer mais qui lui doit une faveur, elle s’attelle à la recherche de données sur des parasites insectoïdes (sans révéler qu’elle a plus de liens avec eux qu’une légitime curiosité, bien sûr) et finit par découvrir des informations intéressantes relatives au fait que des espèces correspondant sensiblement au profil qu’elle a établi seraient particulièrement sensibles à certaines fréquences sonores qui auraient tendance à les incapaciter. C’est forcément fiable, ça vient du recroisement de vieux grimoires avec un extrait de rapport d’autopsie caviardé provenant d’un labo qui n’existe pas. Il va toutefois falloir tester un peu pour savoir ce qui se cache derrière le sybillin « aurait tendance à ».

Mais retournons donc en compagnie de Tamara, Véronica et les quelques sidekicks dont le nom m’échappe, tandis que Lundey et le proviseur font face aux largesses du patron que Leo a réussi à baratiner avec brio. Observant le siège passager du véhicule, Tamara repère ce dont elle aurait besoin pour son rituel : une écharpe en soie qui appartient sans conteste à sa cible et qui présente les marques d’un usage répété bien que soigné. L’un des membres du gang dispose du douteux talent de savoir forcer les serrures… Pas de celui d’empêcher les alarmes de sonner par contre. Et c’est donc déboussolée par la stridence du dispositif anti effraction que la bande s’empare de l’objet du délit et s’égaie dans toutes les directions. [Ca donne lieu à un jet pour fuir que Veronica rate copieusement tandis que Tamara s'en tire avec une douteuse réussite partielle]. Dans la précipitation, Véronica se rend tardivement compte que sa fuite l’amène à repasser devant la sortie du restaurant au moment où Lundey, d’une rare célérité débouche sur la rue. Il est certain qu’il l’a reconnue et lui a fait un signe de pseudo connivence éloquent, peut-être l’apostrophe-t-il. Bref c’est un flagrant délit mais il ne met pas un enthousiasme particulier à intercepter la lycéenne.
Tamara, de son côté, a eu la présence d’esprit de partir du bon côté et de se faufiler dans une ruelle sombre avant que Lundey ne la repère. Rétrospectivement, il n’est plus si certain que la présence d’une frêle adolescente dans une ruelle glauque alors que la soirée a déjà laissé place à l’obscurité de la nuit soit une si brillante idée. [Les réussites partielles sont assez sympathiques dans MH, tu atteins ton objectif court terme, mais tu dis choisit parmi une série de complications. Là, par exemple, j'ai pris : tu fuis... vers un danger plus grand encore]. Tamara achève effectivement de regretter son choix lorsqu’elle se fait intercepter en pleine course par une personne à la sortie d’un rade miteux de la ruelle. Dans son affolement, il lui faut un temps certain pour reconnaître l’un des étudiants qui avaient abordé Ariel lorsqu’elle les avait quittés plus tôt. Enfin la version amochée, émechée et aggressive en tous cas…

Trainée dans le bar par les soudards qui l’ont reconnue pour l’avoir croisée juste avant leur altercation avec Ariel, Tamara doit faire face à un interrogatoire en règles concernant son amie avec menaces physiques, intimidation et toute la panoplie des bravades qui pourraient facilement dégénérer. Toujours est-il que, peut-être poussée par la peur, ou peut-être qu’une pointe de jalousie et de vengeance se glissant dans l’équation, Tamara n’offre pas de résistance, fond en larmes et leur fournit les informations qu’ils cherchent, entre autres les coordonnées d’Ariel.
Plusieurs des arsouilles lèvent le camp sur le champ, s’équipant au passage de force battes de base ball mais l’un d’entre eux reste auprès de Tamara, encore sous le choc. Avec une maladresse qui serait touchante s’il n’avait pas participé l’instant d’avant à l’intimidation, il tente de rassurer et s’excuser auprès de l’adolescente. Tandis que Tamara reste prostrée et apathique, il lui apporte un remontant qu’il parvient à réussir à lui faire avaler. Bien mal lui en prend car Tamara « j’arrive à m’en coller une au Coca Light » en vient promptement à accéder aux toilettes de l’endroit pour régurgiter ce qu’elle avait encore sur l’estomac (et s’essuie la bouche avec la fameuse écharpe de Lundey).
Elle se laissera raccompagner chez elle dans un état de torpeur et de confusion qui la rendra encore plus aveugle qu’en temps normal aux tentatives de son escorte de se faire pardonner (et peut-être plus si affinités, ces gens n’ont-ils donc aucun sens moral) et l’on en restera donc là tandis que Tamara sombre dans le sommeil dans sa chambre.

[Ce post prend donc fin au profit de la deuxième moité dans le billet suivant]

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Effusions

by Sbeu on juil.15, 2014, under Crobards

Rebondissant sur un événement suffisamment rare et apprécié pour marquer l’histoire, j’y vais de ma petite larmichette personnelle.

Adoncques, Enizya nous y faisait part du plaisir qu’elle trouvait à lire les différentes productions des membres de la phalange (article qui semble au demeurant avoir ravivé la flamme vacillante de nos motivations au moins sur le court terme). Je profite donc du fait que l’esprit soit aux effusions pour vous faire part en plus de mon plaisir à vous lire de mon plaisir d’être lu.

Bien qu’étant encore toujours loin des objectifs tant de niveau technique que d’intérêt des sujets de mes productions que je m’étais fixés, je ne peux que constater que j’ai compris quelques trucs au fil de mes expérimentations et qu’au moins j’ai apprécié effectuer ces recherches. Le fait d’afficher mes gribouilles sur le présent blog m’a permis de rester un minimum motivé et de perdurer là où la flemme aurait facilement pu (encore plus) l’emporter. Et je puis donc affirmer sans trop m’avancer que ce blog a contribué dans une bonne mesure aux progrès que j’ai pu faire ces dernières années.
Mais bon, un blog sans public, ce n’est guère plus qu’un espace de stockage ouvert aux quatre vents et le vrai mérite revient donc aux lecteurs commentateurs qui sont passés régulièrement ou passent toujours en ces lieux et sans qui le sbeulog n’aurait pas dépassé la dizaine d’entrées.

Merci à tous, plein de bisous, et stay tuned, je m’y remets !

Allez, pour s’entraîner, un portrait viteuf d’un mec un peu connu.

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