Sbeulog

Attention, ça pique les yeux, je me suis moi même arrêté sur celui là parce que je commençais à trop larmoyer.
Le résultat est très discutable mais à la base, j’avais envie de mélanger des couleurs antagonistes ultra saturées.

Bref bref, j’ai la rétine qui fond et maintenant, vous aussi (à part peut être LCF qui a l’habitude d’avoir la main lourde sur les couleurs acides qui saturent).

Piano

Et sinon, j’ai essayé de refaire un peu d’anat sans référence, ce qui comme on peut aisément le constater laisse lieu à pas mal d’approximations (et les mains, c’est toujours pas ça…).

Seiche

Quelques essais de character design vite faits, histoire de ne pas laisser retomber la pression.

Merci à Guido pour la séance de crobards d’hier, c’était bien cool !

Neige

Robot

Fantassin

Meuwinz

Et voila, le 100 ème post du sbeulog. Et quoi de mieux pour fêter ça qu’une femme nue ?
Pas la peine de répondre, il s’agit d’une question oratoire.

Je n’avais pas envie de trop faire trainer ni d’y passer trop de temps mais il serait bon d’accentuer le travail sur les lumières et les ombres pour donner plus de volume et d’estomper le contraste sur les jambes où justement l’éclairage devrait être plus diffus qu’il ne l’est actuellement.

Ca et les erreurs d’anat, bien sûr, mais comme je me force à laisser de côté les références, forcément, les lacunes se voient…

100

Bref bref, du bleu, plein de bleu, c’est cool, le bleu.

A peine deux et je commence à gratter mes fonds de tiroirs niveau calembours à base de vampire. Si c’est pas malheureux…

La petite Niz n’ayant pas été assez prompte, elle se voit vivement encouragée à apprendre rapidement le maniement du Kukri et à se porter acquéreuse d’une combinaison de cuir de sorte à ne pas dépareiller. De toutes manières, ça fait sooo années 70.
Ah ouais, et si elle pouvait aussi perdre quelques points d’humanité, ça m’arrangerait.

Chasseresse un jour...

Et bien sûr, pour démontrer si la preuve était encore requise que de toutes manières, les descriptions, hein… On ne voit même pas ses fameuses godasses.

C’est sur ce calembour douteux que j’inaugure ma galerie de persos en vue du Vampire de la TP.
Comme je n’ai pas encore de description suffisante provenant des joyeux compagnons pour le moment, ben j’ai commencé la seule pour laquelle j’avais des infos.

La Malkavienne du groupe

Donc ceux qui veulent les leurs, merci d’envoyer une description un peu précise.

Toujours sur la touche féminine, Faith de Mirror’s Edge qui contrairement aux autres n’est pas encore une série et c’est bien dommage.

Je n’en suis pas trop trop satisfait, je n’ai pas réussi à lui rendre justice, l’anat est un peu douteuse et les ombrages en deçà des précédente mais une demi heure, c’est une demi heure…

Faith

Du coup, il en reste deux ou trois dans la série. Le premier est en cours de réalisation. La deuxième (parité oblige) est en projet. L’hypothétique troisième sera au choix du premier qui devine l’identité d’un des deux précédents avant leur publication. A titre d’indication, ça reste des personnages jouables de jeux vidéos (et trop badass puisque c’est le thème).

Après un dérangement sur le serveur, revoici une fournée de bonusques de qualité diverse. Chacun a pris entre 10 min 1/4h.

Bonusque

Bonusque

Bonusque

Bonusque

Bonusque

Bonusque

Et au vol je viens de noter que le tag “Girls without guns” croît déraisonnablement (du moins en regard de son illustre grand frère). Il faudra que j’y remédie, et vite.
Bon, faut que je mastreinte sur PEP, moi…

J’ai fait deux illustrations pour les deux premières scènes (sur 4) dont je ne suis pas content. Ya pas encore de couleurs et il n’y en aura peut-être pas du tout suivant mon taux de flemme. Le fait est qu’elles sont difficilement lisibles et que l’anat comme les attitudes sont à revoir.

Du coup, pour me changer les idée, j’ai dessiné des bonusques qui figurent en fin d’article et qui n’ont rien à voir pour dessiner autre chose que des filles avec des vêtements.

J’ai prévu de rajouter du texte issu du blog de Mizuki pour expliquer un peu les scènes mais j’ai la flemme de le traduire pour l’instant. J’éditerai l’entrée en conséquence quand ce sera fait.

***

Scène 1 : Metal Gear Stupid

Metal Gear Stupid

Scène 2 : First base (ball) ?

First base

***

Et donc comme promis, les bonus qui me permettent aussi de ne pas faire mentir ma réputation vu que les stats de visites d’aout du glob laissent penser que j’ai été référencé par un site dont le nom fait peu de mystère quand à son contenu, du gros pr0n hentai qui tâche

Bien évidemment, j’ai des références photo pour les bonus et non, je n’ai pas l’honneur de connaître les modèles :

Bonusque 1

Bonusque 2

Il est désormais grand temps d’introduire (dégueulasse) les protagonistes (créées par nos soins, ça prend 15 min pour les plus lents, les fiches de perso figurant plus bas sont exhaustives…) de cette aventure avec :

- Urara
Le personnage badass du groupe qui n’avait pas l’air de sortir du même manga que les autres mais heureusement qu’elle était là parce que sinon, je crois que personne n’aurait pensé à taper sur le démon.

Urara : Captain Badass

- Mizuki
La mascotte du groupe et accessoirement, mon perso. Je crois que j’ai fait de la présence partout mais je ne suis pas sûr qu’elle s’est spécialement rendue compte qu’il y avait un démon.

Mizuki : La Mascotte

- Nao
Un personnage intermédiaire avec un fort potentiel de badasserie mais qui passe son temps à suivre ses propres affaire et poursuivre des démons mineurs ce qui fait qu’elle intervient surtout par accident pour pourrir les autres.

Nao : semi-badass

- Yoko
Celui euh… Celle-là est assez particulier(e) dans la mesure où c’est un(e) lycéen(ne) qui aspire à virer les parenthèses dans la phrase actuelle et a un taux de décès très supérieur à la moyenne humaine (de l’ordre d’une à deux fois par scène)

Yoko : They killed Kenny

- Bien sûr, il faut un démon campé ici par La Kitsune. En pratique, c’est plus une demi-divinité qu’un démon mais elle était toujours dans nos pattes alors il a bien fallu en faire quelque chose.

La Kitsune

Et pour ceux qui sont un peu perdus et qui ont envie de s’égarer encore plus, voici un petit graphe des relations (non exhaustif)

Erratum : A noter que pour parachever le trouble, la légende de la flèche noire Mizuki -> Nao est fausse. Il faut lire : Mizuki pourrit (in)volontairement Nao. Merci de votre attention

Graphe des relations

Le compte rendu à proprement parler prendra un poil plus de temps parce qu’il faut encore que je le dessine…

Cette semaine, j’ai fait des tas de trucs trop cools qui donnent complètement envie d’être moi mais qui ne se racontent pas spécialement bien et sinon, j’ai joué une partie de Panty Explosion Perfect.

C’est un petit jeu de rôle indie au système tout léger permettent de camper fièrement des lycéennes japonaises dotées de pouvoirs psychiques et autre magical girls.

Le principe est tout simple, tout ce que le joueur courant raconte se passe comme décrit (pas besoin d’essayer de sauter sur le toit du lycée, on y arrive, point) à moins qu’un autre joueur ou le meuj ne l’interrompe pour s’opposer et décrive l’élément d’adversité qui complique la tâche.
Dans ce cas, le joueur annonce comment il compte surmonter le problème et lance un D6 en règle générale, sur 4+ ça passe modéré par la popularité de la lycéenne quelques autres bidouilles.

Et là, ça devient vraiment drôle : chaque lycéenne a une meilleure amie et une rivale. A chaque test réussi, c’est la meilleure amie qui relate usant de moult laudatifs comment le personnage actif surmonte la difficulté. En cas d’échec, bien évidemment, c’est la rivale qui ridiculise le protagoniste.

Et le Meuj dans tout ça ? Il s’occupe du démon. Parce que le lycée est une espèce de paratonnerre à emmerdes surnaturels. Remporter la partie, c’est coller une branlée au démon (en réussissant un certain nombre d’actions bellicistes contre lui à définir suivant la durée de la partie voulue – 3 pour nous). Comme ce dernier est bien balèze, il faut que la lycéenne moyenne l’attaque avec un peu d’assurance sinon, elle se fait vite pwner.

Comme tout le monde, tout ce que fait le démon fonctionne sauf si on s’oppose. Lui, il réussit ses tests sur 2+, sauf si ses opposantes ont pris confiance en elles. Pour prendre de l’assurance, il faut atteindre ses objectifs personnels (n’importe quoi à définir à la création).
Chaque objectif atteint incrémente la difficulté du démon donc il a intérêt à pourrir les joueurs aussi souvent que possible quitte à s’enfuir quand ça chauffe trop.

La structure narrative ? Chaque joueur est le personnage principal de deux tentatives d’accomplissement de son but personnel et y est donc le conteur principal, pourrit par le meuj et sa rivale en principal mais si c’est rigolo, tout le monde peut s’y mettre.

A titre personnel, je me suis bien marré même si on a rapidement vu une petite limitation se présenter : comme c’est très libre, chaque joueur peut avoir des attentes assez différentes et souscrire à un contrat ludique un poil différent. On se retrouve assez facilement avec un personnage sérieux, un peu dramatique et complètement badass pourri par une rivale loufoque qui conduit la scène à osciller entre deux registres sans se stabiliser. De même, le système se prête à des narrations de tons très variés, il paraît qu’il y a une variante pour des Space Marines, leur aillier et leur antagoniste, c’est dire
Mais globalement, c’est rapide, fluide, ça part dans tous les sens et c’est très fun.

Et donc dans de prochains billets : les persos et le compte rendu de partie.