Tag: Badass
Un fanart
by Sbeu on sept.21, 2014, under Speed
Un petit fanart parce que j’ai enfin réussi à voir les Gardiens de la Galaxie (que je recommande chaudement).
Sérieusement, un raton laveur avec des gros flingues, c’est sûrement le meilleur personnage du monde!
Des couleurs
by Sbeu on sept.19, 2014, under Speed
Petit travail de couleurs sur ce bon vieux Snake Plissken (un jour faudrait quand même que je voie New York 1997).
Remember Tomorrow Episode 2 : La suite de la fin
by Sbeu on mar.18, 2014, under Crobards
Pour en finir avec cette partie, un épilogue rapide concernant les sorties auxquelles on s’attendait :
La Mafia est devenue trop puissante pour que Max puisse s’y attaquer de front il a besoin d’un moyen détourné pour parvenir à ses fins, potentiellement en mettant en cause Danny. Il sait par ailleurs que Green Flower a activement collecté des données et a appris que la corporation cherchait à l’utiliser pour prendre le contrôle de l’organisation criminelle.
Il est temps de déterrrer de l’info croustillante mais il ne sait pas où et comment chercher.
Mike B. connaît la localisation des serveurs secrets de Green Flower et doit tirer au clair ce qui se cache derrière Green Thorn 5.7. Mais pour y accéder directement, il aura besoin de muscles.
Robert Da Silva sait comment exploiter les données que l’on pourrait récupérer chez Green Flower pour nuire à la corporation.
Reste à connecter les points…
Je vous laisse ici imaginer une scène épique où Max cognera dur pendant que Mike prend héroïquement le contrôle des dones de sécurité et que Robert les guide vers les preuves irréfutables prouvant l’implication de Green Flower et l’incapcaité de Danny à contrer cette menace, prouvant son inaptitude à préserver son groupe.
Quand à ce que Mike a vraiment trouvé au cœur de la salle des serveurs de Green Flower, je resterai évasif sur ce sujet parce que j’ai bien quelques idées mais j’aimerai les détailler lors d’une autre session ou d’un autre projet avec lequel je fais joujou depuis longtemps et qui pourrait très bien être lié à un tag de ce blog tombé en sommeil anticipé suite à la qualité décevante de mes productions graphiques…
Bilan :
Fort de ces deux parties, on pourra tirer quelques enseignements relatifs au système de Remember Tomorrow.
- Ça continue à fonctionner même la deuxième fois.
- J’ai oublié quelques réglettes auxquelles Nocker aurait pensé mais ça ne nuisait pas spécialement à la partie.
- Lapi était un nOOb complet du JdR et il est tout de même bien rentré dans le sujet.
- Les scènes d’introduction de personnages ne devraient être utilisées que si l’on envisage vraiment de changer de personnage ou si le nouveau personnage deviendra un antagoniste marquant. Elles étaient plus bénéfiques lors de la partie précédente où elles concernaient des factions. Ici, les nouveaux personnages ont été sous-exploités et auraient pu être amenés lors d’une scène de confrontation. Ça amène au point suivant.
- Comme on l’avait dit précédemment, les personnages subissent l’action, les scènes de deal et les introductions de personnages permettaient ici au joueur qui prend le rôle de contrôleur de continuer à faire avancer la trame de son personnage.
- Un personnage prend quand même la majorité des confrontations et les autres storylines avancent moins vite. Ici, si cette partie était un film, en comptant la présence à l’écran, c’est Krüger qui aurait eu le rôle titre.
- Il ne faut pas hésiter à cocher des progressions vers son objectif personnel. Là, on a un peu traîné et ça a ralenti le rythme.
- On n’est pas vraiment sorti de notre zone de confort. Lapi jouait une brute, ce qui est simple pour un premier perso et a choppé beaucoup d’oppositions. epsyloN rejouait un scientifique dépassé par les événements (et par conséquent subissait les bastons même si rien dans le système ne désavantageait mécaniquement ce perso) et on était moins inspiré pour lui trouver des oppositions donc il a occupé un rôle secondaire. Je jouais un archétype cyberpunk compétent dépassé par sa relation avec une IA (encore). La corporation s’est encore cassé la gueule, la Mafia a encore tiré ses marrons du feu, ma faction a encore joué un rôle mineur.
Je pense que si quelqu’un joue un random péquin, on pourrait se mettre d’accord pour que tout le monde soit dans le même bateau, mais je ne suis pas sûr que cela soit une bonne idée. En effet, l’intérêt pour moi des jeux narrativistes est que chacun amène un bout d’histoire qu’il a envie de voir avancer et la situation converge naturellement à partir de ça vers un état d’équilibre satisfaisant.
En conclusion, je dirais que la rejouabilité reste suffisante pour permettre de faire plus d’une partie mais qu’il peut être intéressant de changer de thématique d’une partie à l’autre.
En bonusque, une gribouille aux feutres :
Ah et sinon, j’ai commandé d’autres petits jeux indie comme Polar Base et j’ai aussi fini par commander Panty Explosion Perfect donc si d’aventure j’étais là à la TP, je pourrais être amené à les trimballer dans mon sac si ça intéresse des gens.
Remember Tomorrow Episode 2 : La fin de la suite
by Sbeu on mar.15, 2014, under Illustration
La fin, comme d’hab updatée à mesure que ça vient.
En fait je dis la fin, mais on n’a pas exactement fini la partie, faute de temps parce que d’autres convives arrivaient pour la soirée et qu’on a décidé de couper court. Cela dit, à ce moment, on savait comment ça allait finir pour tous les persos donc je broderai les épilogues.
*Edit : En fait, ce sera tout pour ce post, je mettrai l’épilogue dans un dernier bloc qui s’intitulera très logiquement…
Et j’en profiterai pour faire quelques commentaires sur le système de jeu et le déroulement de la partie maintenant que je peux faire des études statistiques poussées fondées sur deux événements.
[S] Opposition Max Krüger (v) / Green Flower Labs : L’équipe de Green Flower chargée de la protection des actifs et de la sécurisation des opérations est en émoi. Ils s’étaient avaient embauché anonymement un agent qu’ils ont réussi à infiltrer dans la mafia sans qu’il ne se doute de l’identité de son employeur réel. Mieux, en déployant des trésors d’ingéniosité, ils sont parvenus à faire implanter à ce Max Krüger via la mafia elle même de l’équipement cybernétique truffé de capteurs qui leur permettaient de garder un coup d’avance et de s’assurer du bon déroulement de l’opération confiée à la pègre. De plus, des pontes de la R&D avaient été très specifiques sur le fait que Krüger devait rester relié à du matériel Green Flower pendant toute la durée du « test ». L’ennui, c’est que la qualité du signal s’est soudainement dégradée et qu’on a retrouvé hier le bras et l’œil dans la décharge à ciel ouvert attenante à une Favela près de Rio. Evidemment, le porteur n’était plus relié au matériel. L’information n’est pas encore remontée auprès du conseil d’administration et il est encore temps de rattraper cette erreur.
Cette fois-ci c’est sur une équipe de C-Sec interne de confiance qu’il faudra compter. Par ailleurs, cela permettra de tester le nouveau prototype de capteurs qu’il a été possible d’intégrer à une balle en polymère à faible vélocité. Si le projectile touche sa cible, cette dernière ressentira un choc non létal tandis que des nanofilaments coloniseront son système nerveux et s’interfaceront sur ses neurones sensoriels. La contrainte, c’est qu’il faut avoir une ligne de tir dégagée sur le sujet pendant le temps nécessaire au projectile pour atteindre sa cible.
Doté de son nouvel équipement, ce serait du gâchis d’assigner Max Krüger aux missions qu’il réalisait précédemment. Désormais, les sommes impliquées ont pris un ordre de grandeur. C’est donc dans les étages d’une tour corporatiste qu’on retrouve l’homme de main.
Utilisant les informations de taupes subalternes, l’équipe de Green Flower a maquillé ses insignes en ceux de la corporation cible de Max et coupent court à la « négociation » que ce dernier était en train de mener avec un cadre de haut rang ravi de voir intervenir les forces de sécurité.
Jetons un voile pudique sur cette scène d’une rare violence où Max détectera rapidement la tactique de l’équipe qui tente de l’acculer à une fenêtre pour garantir le contact visuel au sniper. Ce dernier ne verra jamais le dos de Max. il se doutera néanmoins fugacement que quelque chose s’est mal passé lorsque la lame de Bruce qui assurait la couverture de Max lui sectionnera la moëlle épinière. Quand à l’équipe de Grenn Flower, disons que la performance de résistance à l’interrogatoire du dernier survivant concernant son réel employeur est assez décevante mais qu’il a des circonstances atténuantes.
Max gonfle encore ses stats et Green Flower perd en influence maintenant que Max et la Mafia sont au courant que Green Flower agit en sous marin contre eux, ce qui la met sur une mauvaise pente. Ici Lapi aurait probablement pu cocher des objectifs pour avancer vers la sortie de Max tellement il était déjà Badass, ce qui a retardé la fin de partie.
[E] Opposition Mike B.(v)/Green Thorn 5.7 : Depuis qu’il s’est retapé, Mike effectue des petits runs pour le compte de la Mafia avec en couverture une équipe de deckers de soutien. Mike prend les opérations relatives aux filiales de Green Flower dans l’espoir de capter l’aggro de l’ICE de la corporation. Au cours d’une opération qui s’approche dangereusement des serveurs centraux de l’entreprise, Mike détecte soudainement une « présence » désormais familière. Forte de ses récentes expériences, l’IA paraît faire preuve d’arrogance. Elle s’adresse directement au Hacker et profère des menaces narquoises. La voix de l’entité est toujours aussi perturbante pour le Hacker qui sent désormais inconsciemment qu’elle est liée à une période de son passé qu’il avait tout fait pour refouler. Pourtant, il doit s’agir d’une construction fondée sur l’intrusion de l’ICE dans ses centres mémoriels car il est tout bonnement impossible qu’elle soit encore en vie… Mike en est certain, personne n’aurait pu survivre à ça.
Tandis que l’ICE lance une attaque dévastatrice, Mike mobilise les ressources des deckers en soutien pour perforer les routines de défense en profitant de l’ouverture qu’il a sciemment laissée. La tactique est risquée mais s’avère payante car elle lui permet d’implanter des traceurs permettant de remonter aux serveurs principaux qui hébergent l’ICE. Mike est conscient que ce genre de choses n’est pas bon pour son espérance de vie car il n’a pas réussi à répartir toutes les surcharges sur ses contre mesures de protection. Il maintient le contact jusqu’à ce que ses routines certifient la localisation physique des cœurs principaux de Green Thorn, puis se déconnecte.
Reprenant ses esprits, Mike récapitule ce qu’il a appris : Green Flower a déployé des moyens immenses pour déployer un complexe de serveurs secret dont il vient de découvrir la localisation. D’une manière ou d’une autre leur ICE nouvelle génération l’attaque en employant un construct de la personnalité d’Eva, sa partenaire lors de ses premiers runs qui était aussi présente lors de son premier échec retentissant. Mike avait survécu, pas Eva qui avait encaissé la totalité du feedback de l’ICE de grade militaire. Mike avait été contraint à fuir face à l’imminence de l’intervention d’une compagnie de C-Sec et abandonner le cadavre mais avait eu le temps de vérifier les paramètres vitaux de sa partenaire qui étaient tous désespérément plats. Ça, la quantité d’hémoglobine impressionnante et les débuts d’incendie dans leur local l’avaient convaincu du caractère létal de l’opération… Il lui avait fallu plusieurs années pour retoucher un cyberdeck et c’est seulement le compte dans le rouge et les créanciers sur son dos qu’il s’était relancé dans le business.
Il y a un certain nombre de choses à clarifier du côté de Green Flower désormais… Mais Mike sait où chercher. Le seul souci, c’est qu’il va falloir y aller physiquement.
Deux progressions vers l’objectif (Déterminé et Apte) et Green Thorn perd une influence.
[L] Là, j’ai un doute sur cette scène. Je me souviens que Lapi a voulu rusher la sortie de la Mafia en concluant un autre deal entre Max Krüger et son employeur mais je ne me souviens plus trop de la teneur exact de l’accord. Il me semble qu’il livrait l’info que Green Flower avait tenté de les doubler et qu’il se proposait de leur casser la gueule avec le soutien de la pègre. Ne pouvant pas cocher d’objectifs dans une scène de Deal, il a poursuivi l’ascension de l’échelle des stats. A ce niveau là, c’était très clair que Max (groooosses stats) et la mafia (Inf à 7) étaient tous deux très près d’atteindre leurs objectifs.
[S] Opposition Max Krüger (v)/Mafia : Max a apporté à Danny la confirmation de ce qu’elle craignait, Green Flower a un plan depuis le début. La corporation s’est dotée d’une IA capable de remonter à travers le cyberware jusqu’aux portions organiques d’un cerveau connecté. Max a été touché par cette entité, était équipé de matériel qu’Ivan a certifié comme provenant d’une filiale de la société et elle vient de recevoir confirmation que des agents de Green Flower ont été repérés à Rio, justement là où le matériel a été « abandonné ». Finalement, ils ont pris des risques inconsidérés pour ré-équiper l’homme de main lmors de l’attaque qui avait mal tourné. Max est définitivement le pion principal de Green Flower et surtout, c’est désormais la menace principale à court terme. Quand on y pense, c’est évident, ces histoires d’OGMs, D’ICEs et d’agents infiltrés sont toutes des briques d’un plus grand schéma directeur dans lequel la corporation deviendrait capable d’empoisonner n’importe qui, de le contraindre à adopter les équipements cybernétiques qu’elle produit et de leur implanter des suggestions directement lors de leur connexion suivante au cyberespace. Et ça pourrait toucher n’importe qui, du garde du corps au scientifique en passant par le directeur d’une corporation rivale. La rapide ascension de Krüger n’est que la répétition générale…
Afin de régler ses problèmes à court terme, Danny dépêche donc une équipe comptant tout ce que la Mafia compte de plus redoutable pour éliminer Max. L’embuscade est minutieuse, l’affrontement est rapide… et ne tourne pas en faveur des troupes de Danny. Krüger sait que sa patronne vient de chercher à l’éliminer et vient de se trouver une très bonne raison de lui retourner cette délicate attention.
Max coche deux progressions vers l’objectif (Prêt et Déterminé) mais ne baisse pas l’influence de la Mafia (les troupes auront besoin de subir une sévère révision mais pourront resservir). Après tout, il a besoin d’une organisation au meilleur de sa forme quand il occupera le fauteuil de Danny…
[E] Deal Robert Da Silva/Mafia : Et donc sortie de la Mafia qui atteindra une influence de 8.
Robert a récupéré via Jose des preuves accablantes des manipulations délétères réalisées sur les souches des plantes que Green Flower tente de commercialiser. En échange d’un soutien, il leur fournit toutes les preuves permettant d’entraîner la corporation vers le fond. (ça ne lui permet pas d’atteindre ses objectifs car bien que Green Flower soit mise en difficultés, la Mafia garde ces informations pour elle sans pour autant bloquer les plants pour le moment). La Mafia, elle est trop puissante pour disparaître désormais. L’objectif de Max nous a semblé encore réalisable car il reste possible de nuire à Danny mais on rentre dans des subtilités de règles.
[On a conclu la partie ici mais l'épilogue tient en une scène que je relaterai quand je trouverai le temps]
En bonus, une petite illu de Guido sur le thème de Perturbator !
Remember Tomorrow episode 2 : l’histoire
by Sbeu on mar.08, 2014, under Illustration
Comme promis, la suite de l’histoire… Et c’est toujours illustré par Guido qui n’a vraiment pas chômé.
[S] Opposition Robert Da Silva/Mafia(v) : Tandis que Robert poursuit ses recherches sur les plants de Green Flowers et active plusieurs de ses contacts afin de bénéficier de matériel de laboratoire plus avancé que ce dont il dispose à titre privé, un bruit de véhicule gonflé attire son attention. Les claquements de portes multiples conjugués aux aboiements de ses chiens ne laissent que peu de doutes quand au fait que des visiteurs s’approchent de son perron et que leur nombre n’augure rien de bon. N’attendant pas de visites Robert décroche le combiné de son téléphone et appelle ses voisins (les propriétés étant vastes, les plus proches demeurent à une distance plus que raisonnable) afin de savoir s’ils ont eux aussi détecté des indésirables dans le quartier et active dans la foulée le comité d’autodéfense citoyen. Ok, le fait que les chiens n’aboient plus du tout alors que retentissent des sons caractéristiques de contacts violents entre une carrosserie et des battes de base-ball en aluminium lève ce qui reste d’ambiguïté.
Robert se précipite vers le cabinet d’armes de la résidence, se saisit d’un fusil à pompe chargé et monte sur le balcon du premier étage. Depuis ce poste d’observation, il peut contempler à loisir une bande de petites frappes occupées à réduire sa Chevrolet en débris tandis que le sort funeste de ses canidés est confirmé.
Épaulant son arme, Robert les interpelle d’une voix qu’il aurait souhaitée plus calme : « Dégagez de ma propriété, bande de connards ou vous allez le regretter. »
Bien mal lui en prend car c’est justement cet instant de distraction qu’attendait patiemment le Samurai urbain embusqué sur le toit pour se glisser subrepticement derrière le scientifique et le neutraliser, le tenant en respect, lame énergétique à quelques millimètres de la trachée.
« Ou peut-être que c’est toi qui pourrait le regretter. C’est déjà ton deuxième avertissement. C’est aussi le dernier. La prochaine fois, il n’y aura pas d’ordres pour retenir ma lame et tu pourrais y perdre bien plus qu’une voiture et deux chiens alors qu’il serait si simple de ne plus jamais entendre parler de nous… »
La détresse incrédule de Robert lui étant aisément perceptible, le Cyborg ,considèrant que la mission est un succès, effectue un bond élégant pour atterrir sur le parvis et rappelle ses troupes qui abandonnent à regrets l’épave du véhicule de Robert. [Qui prend des conditions négatives, probablement "sous pression"].
[E] Introduction Jose Santos : Laboratoire de Biologie cellullaire, Caltech. Jose Santos, responsable de l’unité de génotoxicité [Random mots clés déployés avec succès, retour à la base], reçoit un appel téléphonique de Robert Da Silva pour le moins confus. Ce dernier semble en état de choc et lui débite une histoire abracadabrantesque impliquant Green Flower Labs, l’étoile montante du secteur. Ce que Robert lui expose est grave… et surtout très dangereux. Il y a énormément à perdre et l’espace d’un instant, Jose souhaiterait ne pas avoir pris la communication.
Malgré tout, eu égard au respect et à l’admiration qu’il conserve envers celui qui fut son directeur de thèse, Jose promet de faire ce qu’il pourra pour aider le vieil homme et tente de la calmer. Au détour de la conversation, il accepte finalement d’effectuer une contre expertise sur les plants que Robert lui fera parvenir, tout en se rendant compte qu’il commet très probablement une grosse erreur.
Objectif : préserver la respectabilité de Robert.
[L] Introduction Danny : Quartier général de la Mafia. Bruce, le samurai urbain qui a fait une belle frayeur à Robert fait son rapport à sa supérieure qui est aussi celle de toute l’organisation : Danny. La quinquagénaire au port impeccable et au regard d’acier ne fait pas son âge. Son tailleur révèle pleinement la respectabilité de sa position et sa perception du business qu’elle dirige. Bruce est suréquipé et enthousiaste et bien qu’il ait le sentiment d’avoir rempli sa mission, Danny reste plus réservée. Elle le félicite malgré tout, le rassasiant de paroles mielleuses tout en envisageant déjà l’étape suivante des augmentations de son jeune commando. Le prochain niveau sera cortical et augmentera son efficacité tout en limitant son niveau de prise de décision. Son problème, c’est qu’il veut tellement faire ses preuves qu’il prend des initiatives déplorables. Il va falloir y remédier.
Congédiant son subordonné, elle contacte le chirurgien en chef de la clinique clandestine pour concocter la « récompense » de son poulain. On trouvera bien un peu de temps durant l’implantation des arcs réflexe supraconducteurs pour rajouter des modules de contrôle cérebraux.
Objectif : Augmenter l’influence de la Mafia et asseoir sa position de partenaire commercial des corporations.
[S] Deal Mike B. / Mafia : Mike sait qu’il aura besoin d’aide. Ce qui avait commencé comme une banale récupération de données est certes en train de tourner à la croisade personnelle mais ça, les commanditaires n’ont pas à le savoir. Et puis ce n’est pas comme s’il revenait les mains vides. Une mission qui échoue à cause d’une adversité plus équipée que prévu, c’est toujours la preuve qu’il y a bien quelque chose à chercher. Ce serait assez mince comme monnaie d’échange si Mike n’avait pas non plus un exemplaire de ses backups de run et les enregistrements de sa physiologie cérébrale durant la sortie. Bien analysées, ces données sont une véritable mine d’or pour un decker organisé qui cherche à se protéger d’une ICE agressive. Pour la mafia, c’est tout bénéf. Ils savent où chercher, et ils ont des pistes pour contourner la sécurité et pour couronner le tout, c’est un indépendant qui se dévoue pour prendre le neurofeedback à leur place et sert de fer de lance pour le run.
Mike se rend donc à la clinique clandestine camouflée par un bar louche en cheville avec la mafia. Après sa visite médicale de routine qui lui prouve qu’il a pris cher, mais que ça aurait pu être pire, Mike négocie avec le directeur de l’antenne locale l’échange de ses informations contre un renouvellement de son matériel et un soutien du groupe oméga, unité de deckers de la mafia qui s’occuperont de sa protection pendant qu’il perfore les défenses de Green Flower lors de sa prochaine tentative.
[E] Opposition Max Krüger/Green Thorn 5.7(v) : Depuis son intégration, Max s’acquitte avec diligence de toutes les missions qu’on pourrait lui confier et s’est déjà fait remarquer pour son sérieux et son application lorsqu’il s’agit de distribuer des torgnoles. C’est donc au cours d’une sortie visant à récupérer la part revenant légitimement à son employeur d’une opération de distribution de Senstims, les fameuses puces de stimulation sensorielle qui font planer de manière inégalée (la dépendance et les dommages cérébraux le sont aussi, inégalés), que Max et les sous fifres qui l’accompagnent rencontrent les représentants de la triade qui se plient exactement au même exercice. La tension monte et le déferlement de violence semble inéluctable tandis que les différents protagonistes s’engagent dans une impasse mexicaine. Max sait quand un affrontement risque de virer de manière défavorable mais tandis qu’il tente encore d’effrayer ses opposants, il sent son doigt se convulser sur sa gâchette. Dans un effort surhumain, il parvient à détourner son arme mais son shotgun embarqué se déploie contre son gré, manquant de déclencher la fusillade. Il parvient néanmoins à lâcher son arme, ce que son opposant prend pour une invitation à poursuivre à l’arme blanche. L’affrontement qui suit est particulièrement brouillon tant les augmentations de Max se révèlent peu fiables. Il triomphe pourtant malgré son handicap mais prend un mauvais coup dans l’affaire. Ses sidekicks, eux, n’auront pas cette chance…
De retour à la clinique, il demande un diagnostic de ses prothèses, s’installe sur une plateforme d’installation et se connecte à l’ordinateur tandis qu’un chirurgien raccorde le reste du câblage. C’est sans compter sur le fait que c’était exactement ce qu’attendait Green Thorn (en Cyberpunk, rien ne vaut une connexion par câble), qui ayant trouvé dans les bases de données de Green Flower le dossier de Max et les spécifications exactes de son matériel, tente d’explorer la partie biologique de son cortex en utilisant pour point d’entrée le cyberware invasif qui équipe l’homme de mains.
Max tente vainement de lutter contre l’IA mais sa faible expérience du cyberespace fait de lui une proie facile. Alors que le personnel médical rompt les connexions, Max entend une voix féminine où se mêle menace et curiosité lui imposant de relayer un avertissement à ses supérieurs.
Green Thorn se sort renforcée de l’affrontement tandis que Max est humilié (nCon).
[L] Deal Max Krüger/Mafia : Après sa déconvenue virtuelle, Max est convaincu d’une chose : nec plus ultra ou par, le Cybertron 3000, c’est de la merde. Discutant avec les chirurgiens désemparés qui l’ont sorti de la situation précédente, il demande à être débarrassé immédiatement de son bras et de son œil. Face à l’attitude réservée des sous-fifres qui n’ont aucune envie de rebrancher max sur le réseau et n’ont aucune confiance dans leur capacité à opérer sans assistance cybernétique, Max finit par être introduit auprès d’Ivan, responsable technique du laboratoire que l’histoire intéresse. Diminué, l’homme de main n’apporte rien à la mafia. Le problème, c’est que tout le matériel actuellement sur le marché est connecté et bien que certifié 100% sûr contre les intrusions depuis le Cyberespace, Max représente un précédent fâcheux. Après, de longues hésitations et une discussion sur les risques de l’opération qui ne sont plus du domaine de l’hypothèse mais bien de la certitude, Ivan extirpe d’un conteneur réfrigéré un prototype monstrueux qu’il a récupéré on ne sait comment d’un laboratoire de l’union néo soviétique. Le modèle antédiluvien est ANALOGIQUE, il est NUCLÉAIRE ! Porter ce genre de matériel nuit fortement à l’espérance de vie et à la qualité des gamètes mais permet de perforer à la main le blindage d’un VTOL de grade militaire. Il est heureux pour la mafia qu’ils aient réussi à trouver un cobaye volontaire pour l’opération…
Désormais lié plus encore à son employeur tant la fréquence de maintenance et la rareté du carburant très spécifique de son nouveau bras le contraignent à ne pas s’éloigner de la clinique trop longtemps, Max est néanmoins prêt (pCon) à affronter tout ce qui se mettra en travers de son chemin. (Il gonfle ses stats notablement au passage).
C’est tout pour cet article. La fin arrivera dans le suivant… Quand c’est rédigé. D’ici là, ne faites pas de bêtises.
Remember Tomorrow Episode 2 : Fleurs synthétiques
by Sbeu on mar.04, 2014, under Illustration
Et voilà, déjà deux posts en Mars et on n’est même pas encore le 7, c’est Byzance.
Adoncques, le Week end dernier, j’ai fait ma deuxième partie de Remember Tomorrow en fort bonne compagnie puisque j’y étais accompagné d’EpsyloN à nouveau ainsi que de Lapi et Guido. Le dernier cèdant néanmoins facilement sous la pression de la page blanche dès la création de perso, on se retrouvera donc rapidement de nouveau pour un plan à trois comme la dernière fois.
Guido n’a pas pour autant chômé puisqu’il s’est occupé de la portion illustration et franchement, vous ne perdez pas au change… Pour resituer, c’est lui qui m’a redonné la motiv. pour dessiner et que j’essaie vainement de rattraper depuis. En quelques mots, il roxxe du poney et on peut voir ses créations là entre autres.
La bande son, c’était notamment Perturbator ! Je vous incite vivement à lancer la playlist pendant votre lecture, c’est grand…
Pour rappel, les règles sont ici et la dernière session était relatée là, là et là.
Même nomenclature que la dernière fois :
[S] = Sbeu
[E] = EpsyloN
[L] = Lapi
[sPerso] = sortie perso
[X] = Objectif atteint
Perso(v)/Faction = opposition Perso vs Faction, ici victoire du côté du perso.
Et comme d’hab, j’éditerai les articles à mesure que je les rallonge et je passe à l’article suivant quand ça devient trop long donc n’hésitez pas à repasser sur celui-ci.
C’est parti pour les tours d’exposition.
Comme précédemment, certains recoupements se sont faits par la suite mais j’ai un peu remis de l’ordre dans les liens pour mieux servir l’histoire.
[S] Intro Mike B. : Pièce obscure, mal aérée et couverte de stimpacks et Junk food de fraicheur diverse, illuminée par les multiples écrans et affichages Tridis. Agité par une série de convulsions, Mike B., dans un dernier soubresaut arrache son casque de simu et son datajack. Encore hébété par la déconnexion brutale, Mike essuie presque surpris le sang qui lui coule des narines tandis que l’odeur du silicium brulé lui parvient à travers la saveur métallique écoeurante.
C’est pas souvent qu’un run foire autant, mais là, c’était dans les grandes largeurs. Et pourtant, ça avait bien commencé.
Lucratif, garanti sans risques, le serveur de Green Flower Labs n’est pas réputé être un modèle d’inviolabilité, le truc peinard, quoi. Sauf qu’ils ont dû mettre les moyens récemment et ont acquis un nouveau modèle d’ICE (Intrusion Countermeasures Electronics pour ceux que les acronymes cyberpunks rebutent) bien vicieux. Ça aurait été seulement ça, encore, ça serait passé mais au moment où Mike a été forcé de se déconnecter, il a entendu une voix qui l’a perturbé plus que tous les neurofeedbacks qu’il a pris lors de runs antérieurs.
Alors soit ça a causé plus de dommages cérébraux que prévu, soit il y a quelque chose de vraiment pas net dans leurs serveurs.
D’habitude, Mike aime à se considérer comme le meilleur dans sa partie. Après tout pourquoi pas, ça fait vendre et tant que t’es pas en état de mort cérébrale et que t’as pas une unité de C-Sec qui passe par tes fenêtres pour couper court à tes combines, qui ira te contredire ?
Mais là, se faire griller au sens propre comme un bleu, ça fait relativiser.
De toutes manières, va falloir repasser un scan cérébral et se racheter du matos pour y voir plus clair.
Objectif : remonter à la source de la voix dans le cyberespace.
Et donc le premier dessin de Guido fait au bic noir en 30 minutes [Jalousie intense]
[E] Intro Robert Da Silva : Changement de décor pour un pavillon de campagne dans une lontaine banlieue cossue de Frankfort, Kentucky. Malgré l’extension tentaculaire du Sprawl urbain, on peut encore considérer cette propriété comme rurale. Au mur, on peut observer les deux doctorats en Bio technologies et Philosophie de l’occupant du bureau qui datent, comme ne manque pas d’en rappeler fièrement leur titulaire, de l’époque où les universités n’étaient pas encore une succursale des corpos.
Expert reconnu dans son domaine, le sexagenaire est confronté à un cas de conscience aigü dans la mesure où il a été mandaté pour accréditer la mise sur le marché des nouvelles graines produites par GreenFlower Labs dont les rendements vont permettre d’endiguer la crise alimentaire en cours. Ce qui devait n’être qu’n travail de routine grassement rémunéré l’a néanmoins amené à soupçonner que les dernières modifications iraient bien plus loin que le rendement, la résistance aux parasites ou les désormais classiques stérilité des plants et dépendances aux engrais et herbicides produits par la société. En effet, certains gènes semblent avoir été sciemment introduits pour causer une lente dégénérescence du cœur, du foie et des reins des consommateurs et le timing cadre un peu trop parfaitement avec l’acquisition par Green Flower labs de Biomedic Prostetics, leader en organes cybernétiques de remplacement cédé à vil prix depuis la faillite d’Heinkel (cf l’épisode 1 ^^).
Le mail qu’il a reçu ce matin : « Attention à ce que vous pourriez trouver ». N’est pas non plus étranger à son anxiété croissante.
Objectif : Exposer les machinations de Green Flower Labs.
[L] Intro Max Krüger : La matinée n’aura pas épargné non plus Max Krüger, qui se réveille tout endolori dans le sofa de sa piaule. Des bribes de souvenirs lui reviennent de manière éparse. La mission de test pour attirer l’attention de la mafia et les infiltrer. Le mystérieux employeur et la promesse alléchante d’une coquette somme pour grimper le plus possible dans la hiérarchie de l’organisation criminelle. Le pire c’est qu’il y aurait même pas eu besoin de le payer pour ça, l’opportunité d’y entrer était déjà une tellement belle perspective…
Et puis bien sûr, les mauvais coups pris dans l’affaire, la salle d’opération clandestine pour le rafistoler. Le doc à moitié déchiré aux Stims…
Oh putain ce que ça fait mal. Trouver un miroir… Ah ouais, quand même. Il y a eu des travaux… Ça a l’air d’être du beau matos, au moins vu comme ils l’ont retapé, la mafia a l’air d’avoir apprécié le coup de main. C’est toujours ça de pris.
Ok donc ça fait quoi ? Un bras, un oeil…
Avisant la table basse, Max attrape maladroitement le manuel utilisateur de son nouveau hardware. Cybertron 3000, putain qu’est-ce qu’ils vont pas inventer… Ah marrant, ya même un shotgun dissimulé dans le chassis.
Finalement la journée démarre pas si mal.
Objectif : Gravir les échelons de la mafia jusqu’au sommet.
[S] Intro Firewall Green Thorn ICE 5.7 :
*** 5237 Tentatives d’intrusion repoussées ***
*** Base de Virus mise à jour***
*** Protection Green Flower Labs datastores : optimale ***
*** Installation contre mesures défensives … 100% ***
*** Tentative d’intrusion en cours … Riposte en cours … Systèmes partiellement corrompus … Restauration ***
*** Echec de la restauration. Données de matrice de réaction corrompues ***
*** Protocole de destruction des intrus ***
*** Mike, c’est toi ? ***
*** Déconnexion de l’intrus, intrusion repoussée, Dommages matériels : 100%, dommages biologiques : 3,7% ***
*** Mise en veille… Echec…***
*** Je suis où en fait ? ***
*** Acquisition des banques de données : Green FLower Lab 1 : 0.001%… ***
[E] Introduction Green Flower Labs :
Conseil d’administration de la division Alimentation de Green Flower Labs. Un grouillot dont on n’entendra plus parler a écopé de la délicate nouvelle d’annoncer aux membres de l’assemblée que l’étape de mise sur le marché de la série Synergy est ralentie par le conseil d’expertise sanitaire qui fait durer la procédure de manière inexpliquable, reportant d’autant le planning et la campagne marketing associée. Les fenêtres de lancement ayant été définies et pré-négociées, notre héros d’un instant sait qu’il préfèrerait avoir trouvé un moyen de se défiler car un agneau sacrificiel va être offert sous peu aux divinités du big business.
Fin de la réunion, on n’entendra plus parler du sous fifre précédemment évoqué. Il n’avait pas de prénom de toutes manières. Il va falloir remettre ce Robert Da Silva sur le chemin de la raison. A la surprise de plusieurs intervenants, son portefeuille ne serait pas la corde sensible à privilégier.
La décision de passer à une étape plus physique a été entérinée, étant donnés les délais serrés du projet. Pour des raisons d’image, il faudra externaliser.
Au moins, la bonne nouvelle, c’est que le nouveau système de pare feu et d’ICEs de génération 5 est installé et opérationnel.
Si le timing reste d’équerre, ça devrait passer avec un impact neutre sur le cours de l’action de la corporation.
[L] Introduction la Mafia : Certains groupes criminels utilisent le nom de la famille dominante pour se désigner, d’autres, un symbole ou un clan mais objectivement, tout ça c’est pour les seconds couteaux. Et bien qu’il y ait d’autres organisations paralégles dans la région de Frankfort, quand quelqu’un dit La Mafia ou Le Syndicat, tout le monde sait de qui on parle.
Et c’est comme ça que marche le business, par la réputation… Là par exemple, les Johnsons de cette boîte respectable, Green Flower, ils ont tout de suite su à qui s’adresser pour régler leur problème de vieux gêneur. Et ils savent qu’il va falloir raquer pour que ce soit bien fait. Faut voir ça comme une prestation de services. Quelqu’un a un souci, paye le juste prix et un intermédiaire de confiance fait disparaître son problème. C’est comme ça que ça marche.
Alors bien sûr, il est nécessaire de prendre ses précautions. Vu la teneur des affaires, la prudence n’est pas un luxe. Il n’y a pas qu’eux qui savent utiliser des intermédiaires pour éviter d’être identifiés quand ils ont de la sale besogne. Si ce Decker est aussi bon qu’il prétend, il devrait nous rapporter du linge sale et des histoire croustillantes sur les jardiniers. Juste au cas où…
Dans l’article suivant, l’histoire à proprement parler.
Jaaa neee
La même, en couleurs
by Sbeu on déc.26, 2013, under Illustration
J’aimais bien le crobard alors j’y ai consacré quelques heures en rab.
C’est pas souvent mais franchement, je suis assez content du résultat. Je vais rarement aussi loin sans référence.
Du coup, c’est marrant, mais si là, on me proposait un DnD 4, je crois bien que je lui bidouillerais un petit portage, à Tatil Fona.
Free a toujours son upload au carton donc j’ai finalement inauguré mon compte deviantart qui était vide depuis sa création, il y a bien 7 ans… Ça nous rajeunit pas non plus.
Joyeux Noël a l’arrache.
Si vis pacem…
by Sbeu on sept.03, 2013, under Crobards
Aujourd’hui, c’est la sortie de Rome II Total War. Je ne sais pas si/quand j’aurai le loisir de l’acquérir/y jouer. Mais en attendant, c’est tradi, c’est gribouille d’un général mal barré.
Sinon, je m’approche du 200ème post et incidemment du 1000ème commentaire (mais moins vite). Si des fois on l’atteint avant le post, l’auteur du commentaire choisira le sujet du post.
Bon, floodez pas (trop), quand même, c’est un blog respectable, on est pas sur le #B#unker.
Girls & Katanas
by Sbeu on sept.02, 2013, under Crobards
Allez, vite fait, comme j’avais envie de jouer un peu avec mon Pentel, une petite nipponnerie.
A Serial Killer is born
by Sbeu on juil.21, 2013, under Crobards
Parlant de Lara Croft, j’ai fait une petite gribouille vite fait, ayant fini l’opus 2013 (avant même la fin des soldes steam, je suis un putain de junkie).
Les textes ne sont guère lisibles, mon mauvais…
Ça m’avait un peu fait rigoler cette dualité entre la narration qui met l’accent sur la fragilité de la jeune Lara Croft et les séquences de gameplay où tu exécutes sauvagement tout ce qui respire. Le plus bizarre, c’est qu’il y a alternance entre les deux donc tu retrouves ta jeune archéologue dépassée par les événements le temps d’une cinématique entre deux passages avec ta berserker.
En même temps, l’excuse facile, un cultiste, c’est comme un zombi, c’est plus humain donc pas de remords.
Mais c’est un excellent jeu, hein… C’est juste que gameplay et narration, c’est dur à faire coexister harmonieusement.