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Tag: Girls without Guns

Etudinettes SF et autres

by Sbeu on oct.04, 2015, under Crobards

Voila de la SF (et d’autres trucs), toujours sur le même principe de partir d’un chara design existant et de se le réapproprier.

Sauf celle là qui est 100% de tête parce que j’avais envie de jouer avec une texture fibre de carbone.

Cyborg

Cyborg

RFTG

RFTG

Netrunner

Netrunner

Et d’autres trucs, encore du Magic et Agricola, parce que c’est le meilleur jeu de placement d’ouvriers du monde.

Magic Noir

Magic Noir

Agricola

Agricola

Bref, c’est la rentrée pour de bon… Et félicitations pour le retour d’Oghma, d’ailleurs !

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Bonusque aquarelle

by Sbeu on déc.14, 2014, under Crobards

Un autre à l’aquarelle, parce que j’aime bien.

Verschmutzung

Verschmutzung

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Bonusque couleurs

by Sbeu on déc.06, 2014, under Crobards

Comme la semaine dernière, un autre bonusque le temps que je prépare le Boku suivant. Cette fois, c’est la version de luxe améliorée en couleurs (wouhou) :

Gear

Gear

Les hachures sont redondantes avec l’aquarelle par endroits et je ne suis pas content des jambes qui manquent de relief, faudra que j’améliore ça sur une prochaine.

Jaanee

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Bonusque

by Sbeu on nov.24, 2014, under Ligne

Comme c’était pas sympa de laisser trainer les carnets, un petit bonusque sur le thème :

Kimono

Kimono

Jaanee

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Gribouille MH

by Sbeu on sept.01, 2014, under Crobards

J’avais commencé la gribouille qui suit sur le thème de la partie précédemment relatée et finalement, je me suis lassé donc comme d’hab, je l’ai pas finie.
Voilà quand même son état d’avancement actuel pour pas qu’elle finisse complètement dans le néant.

Baston

Baston

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Polar Base : critique

by Sbeu on mar.25, 2014, under Crobards

Afin de ne pas s’arrêter en si bon chemin, j’ai testé pour vous Polar Base (de Jérôme Larré et Ludovic Papaïs aux éditions la Boîte à Heuhh) avec l’aide d’epsyloN et de Guido.
C’est donc un jeu narrativiste piloté par des cartes. Les règles sont toutes simples. Les joueurs incarnent des scénaristes embauchés par une boîte de prod qui veut sortir un nanard dont le pitch est le suivant : durant une tempête, le contact a été perdu avec une base polaire de recherche en antarctique. Lorsque l’équipe de secours parvient sur le site, elle découvre les cadavres des neuf membres de la mission et des signes manifestes de violence.
En outre, chaque scénariste est aussi l’agent d’un acteur qu’il essaie de mettre en avant (moyen d’avoir un personnage principal).
La narration est anti-chronologique. Comme tout le monde est mort et qu’on meurt à l’écran, la première scène où un personnage apparaît est aussi la dernière de son existence, no exceptions.
Restent les cartes. Elles désignent des objets qui sont autant de pistes de narration. Chaque joueur raconte une scène avec son perso en faisant forcément intervenir une de ses cartes. Les autres joueurs peuvent l’interrompre durant sa narration en lui posant une question et lui filant une de leurs cartes. La carte est la réponse à cette question.
Après chaque tour de table, on vote pour le meilleur. Au bout d’un moment, on propose des intros au film, celui qui a le plus de points gagne et son intro est retenue. Facile, hein ?

Et une petite critique dans le feu de l’action :

Comme on n’a fait qu’une partie, je pense qu’on a eu des soucis dus à notre inexperience sur ce système et je ne peux pas certifier que toutes les parties tourneront de la même manière mais voici quelques éléments de notre ressenti.

Les cartes sont un élément à double tranchant. Elles constituent à mon sens la force et la faiblesse du jeu. Ça apporte de la richesse au jeu et ouvre plein de pistes (elles suggèrent toutes des tropes qui aident à orienter la narration et à expliquer ce qui se passe : serial killer, surnaturel, experimentations contre nature, grands anciens).
Le problème, c’est que comme elles tombent sous forme de contraintes imprévues et avec une forte fréquence, on a beaucoup de mal à capitaliser sur toutes et la narration devient vite très décousue. Plein de pistes sont ouvertes sans être fermées.
Du coup, l’avantage est que c’est fun, rapide et avec énormément de possibilités qui font avancer facilement la narration sans préparation, le revers est que toutes ces possibilités se mélangent et que plein d’éléments intrigants et qui mériteraient d’être creusés restent anecdotiques, sous employés et finalement inexpliqués alors que leur intervention dans la scène laissait entendre qu’ils auraient un rôle à jouer.
Comme disait Guido : « en fait, les scénaristes de Lost, ils jouaient à Polar Base ». A titre d’exemple, a force d’avoir des tropes qui s’empilent, on a quand même fini avec des zombis nazis mutants affectés par des horreurs indicibles d’outre temps que plusieurs groupes d’agents infiltrés tentaient d’empêcher d’être récupérés par une conspiration illuminati.
C’est beaucoup…
L’autre point, c’est que les interruptions empêchent souvent de placer des scènes d’exposition plus posées. Du coup, le rythme est effréné, ce qui est bien mais comme il n’y a jamais de pauses, les moments épiques en ressortent affadis.
Pour finir, un mot sur la narration anti-chronologique. C’est une bonne idée et c’est agréable à jouer pendant la partie. Par contre, quand on parvient à la fin, on se rend compte que ça a des effets secondaires inattendus. Le spectateur peut finir par savoir ce qui s’est passé, les personnages, par contre, ne le sauront jamais. Au moment où ils meurent, le scénario n’a pas encore d’explication et les scènes de mort arrivant dès le début de la construction, la personnalité et le passé des personnages n’est pas encore établi et elles n’ont donc pas le souffle épique du sacrifice d’un personnage jusque là parfaitement égoïste par exemple. Donc la mort d’un personnage principal n’est pas spécialement significative alors que dans le film, ça devrait être le moment où les spectateurs souffrent pour lui et sortent leurs mouchoirs car ils ont du vécu en commun avec le héros. Ou alors faut avoir anticipé ça dès le début mais les interruptions rendront alors la narration très difficile au lieu de la faciliter. En outre, l’histoire se révèle à mesure qu’on remonte le temps mais comme les personnages deviennent de plus en plus ignorants, ils ne peuvent faire aucun lien logique. A chaque scène, le personnage ne sait pas ce qui a précédé parce que ça n’a pas été raconté et ne sait pas ce qui va suivre parce que c’est dans le futur. Ça a un effet « Hyperion : Rachel Weintraub RPG » et c’est très frustrant.

Du coup, j’ai un avis partagé sur ce jeu. C’est rigolo, dynamique, pas prise de tête et ça doit se fluidifier avec la pratique mais on a du mal à ressentir de l’empathie pour les personnages qui ont difficilement la possibilité d’être réactifs face aux éléments de réponse qui s’accumulent. L’histoire devient vite décousue à cause de la profusion d’éléments et d’indices et j’ai l’impression que ça risque de souvent finir par converger sur un magma qui mêle plein d’explications partielles sans en privilégier. Enfin quand on recolle les morceaux et qu’on regarde l’histoire globale, ça manque de cohérence et de focus alors que ce que j’aime bien dans le narrativisme, c’est que les joueurs amènent des thèmes qui leur tiennent à cœur et finalement, une histoire cohérente se constitue autour et lie le tout. Ici, les thèmes sont assez imposés et le liant ne tient pas forcément bien.

Je pense qu’il faut plutôt voir Polar Base comme un puzzle game où on tente de recoller des morceaux de scénar sans se laisser dépasser (ou comme un petit jeu fun où on se tape de la cohérence et où on empile les tropes que le jeu nous suggère en pourrissant allègrement les copains). Globalement, on a tout de même passé un fort bon moment.

J’essaierai de faire un compte rendu mais c’est bien plus délicat que sur les autres jeux auxquels j’ai joué récemment.

Rien à voir mais une petite gribouille totalement unrelated que j’avais en cours et que j’ai finie là. Elle plaira à LCF, ya une bouche moustache…

Red Dragon

Red Dragon

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Remember Tomorrow Episode 2 : La suite de la fin

by Sbeu on mar.18, 2014, under Crobards

Pour en finir avec cette partie, un épilogue rapide concernant les sorties auxquelles on s’attendait :

La Mafia est devenue trop puissante pour que Max puisse s’y attaquer de front il a besoin d’un moyen détourné pour parvenir à ses fins, potentiellement en mettant en cause Danny. Il sait par ailleurs que Green Flower a activement collecté des données et a appris que la corporation cherchait à l’utiliser pour prendre le contrôle de l’organisation criminelle.
Il est temps de déterrrer de l’info croustillante mais il ne sait pas où et comment chercher.
Mike B. connaît la localisation des serveurs secrets de Green Flower et doit tirer au clair ce qui se cache derrière Green Thorn 5.7. Mais pour y accéder directement, il aura besoin de muscles.
Robert Da Silva sait comment exploiter les données que l’on pourrait récupérer chez Green Flower pour nuire à la corporation.
Reste à connecter les points…
Je vous laisse ici imaginer une scène épique où Max cognera dur pendant que Mike prend héroïquement le contrôle des dones de sécurité et que Robert les guide vers les preuves irréfutables prouvant l’implication de Green Flower et l’incapcaité de Danny à contrer cette menace, prouvant son inaptitude à préserver son groupe.
Quand à ce que Mike a vraiment trouvé au cœur de la salle des serveurs de Green Flower, je resterai évasif sur ce sujet parce que j’ai bien quelques idées mais j’aimerai les détailler lors d’une autre session ou d’un autre projet avec lequel je fais joujou depuis longtemps et qui pourrait très bien être lié à un tag de ce blog tombé en sommeil anticipé suite à la qualité décevante de mes productions graphiques…

Bilan :

Fort de ces deux parties, on pourra tirer quelques enseignements relatifs au système de Remember Tomorrow.
- Ça continue à fonctionner même la deuxième fois.
- J’ai oublié quelques réglettes auxquelles Nocker aurait pensé mais ça ne nuisait pas spécialement à la partie.
- Lapi était un nOOb complet du JdR et il est tout de même bien rentré dans le sujet.
- Les scènes d’introduction de personnages ne devraient être utilisées que si l’on envisage vraiment de changer de personnage ou si le nouveau personnage deviendra un antagoniste marquant. Elles étaient plus bénéfiques lors de la partie précédente où elles concernaient des factions. Ici, les nouveaux personnages ont été sous-exploités et auraient pu être amenés lors d’une scène de confrontation. Ça amène au point suivant.
- Comme on l’avait dit précédemment, les personnages subissent l’action, les scènes de deal et les introductions de personnages permettaient ici au joueur qui prend le rôle de contrôleur de continuer à faire avancer la trame de son personnage.
- Un personnage prend quand même la majorité des confrontations et les autres storylines avancent moins vite. Ici, si cette partie était un film, en comptant la présence à l’écran, c’est Krüger qui aurait eu le rôle titre.
- Il ne faut pas hésiter à cocher des progressions vers son objectif personnel. Là, on a un peu traîné et ça a ralenti le rythme.
- On n’est pas vraiment sorti de notre zone de confort. Lapi jouait une brute, ce qui est simple pour un premier perso et a choppé beaucoup d’oppositions. epsyloN rejouait un scientifique dépassé par les événements (et par conséquent subissait les bastons même si rien dans le système ne désavantageait mécaniquement ce perso) et on était moins inspiré pour lui trouver des oppositions donc il a occupé un rôle secondaire. Je jouais un archétype cyberpunk compétent dépassé par sa relation avec une IA (encore). La corporation s’est encore cassé la gueule, la Mafia a encore tiré ses marrons du feu, ma faction a encore joué un rôle mineur.
Je pense que si quelqu’un joue un random péquin, on pourrait se mettre d’accord pour que tout le monde soit dans le même bateau, mais je ne suis pas sûr que cela soit une bonne idée. En effet, l’intérêt pour moi des jeux narrativistes est que chacun amène un bout d’histoire qu’il a envie de voir avancer et la situation converge naturellement à partir de ça vers un état d’équilibre satisfaisant.

En conclusion, je dirais que la rejouabilité reste suffisante pour permettre de faire plus d’une partie mais qu’il peut être intéressant de changer de thématique d’une partie à l’autre.

En bonusque, une gribouille aux feutres :

Punch

Punch

Ah et sinon, j’ai commandé d’autres petits jeux indie comme Polar Base et j’ai aussi fini par commander Panty Explosion Perfect donc si d’aventure j’étais là à la TP, je pourrais être amené à les trimballer dans mon sac si ça intéresse des gens.

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Mars et exercices

by Sbeu on mar.02, 2014, under Crobards

Une petite série d’exercices avec différentes techniques en partant de la même ref. A force, je commence à pas mal la connaître, cette rue…

Elle est assez facile parce qu’il n’y a qu’un point de fuite mais c’est déjà ça pour s’entraîner. Ah et comme je suis un pur, c’est direct à l’indélébile sans croquis préparatoire (d’où quelques foirades sur la deuxième, d’ailleurs).

La rue

La rue

La rue

La rue

La rue

La rue

La rue

La rue

Et du coup, comme j’aimais bien cette technique de contours de zones de masses principales, j’ai essayé sur des visages aussi. Le tout en 5 min par visages (beaucoup plus pour la rue).
Dans les deux cas, j’aime assez le résultat.

Visages

Visages

Visages

Visages

Et là, vous vous dites, le post de Mars dès le 2. Va falloir attendre avril du coup avant de revenir. Que nenni, une partie de Remember Tomorrow ayant eu lieu hier, il y a un CR sur le feu qui devrait arriver dans les prochaines semaines.

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L’étudinette de janvier

by Sbeu on jan.27, 2014, under Speed

C’est pas tout ça, mais il faudrait quand même poster un truc en janvier. J’ai fait pas mal de trucs mais tous d’une qualité plutôt douteuse et qui ne feront donc pas l’objet d’un post.

Bon, pour pas poster à blanc, il y a toujours cette étude de Scarlett Johansson dont la ref est le premier résultat de google images qui passe.

Scarlett Johannson étude 2

Scarlett Johannson étude 2

Ça me tenait à cœur parce que j’avais déjà tenté de la dessiner et la ressemblance n’était pas frappante. Là au moins, je trouve qu’il y a un air de famille correct.

Allez, à bientôt pour de nouvelles trépidantes aventures.

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La même, en couleurs

by Sbeu on déc.26, 2013, under Illustration

J’aimais bien le crobard alors j’y ai consacré quelques heures en rab.
C’est pas souvent mais franchement, je suis assez content du résultat. Je vais rarement aussi loin sans référence.

Tatil Fona couleurs

Tatil Fona couleurs

Du coup, c’est marrant, mais si là, on me proposait un DnD 4, je crois bien que je lui bidouillerais un petit portage, à Tatil Fona.

Free a toujours son upload au carton donc j’ai finalement inauguré mon compte deviantart qui était vide depuis sa création, il y a bien 7 ans… Ça nous rajeunit pas non plus.

Joyeux Noël a l’arrache.

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